Sôseki, un des mes préférés. Merci et belle journée à tous. :)

L'automne annonce l'arrivée de la paix.

Un bon livre, de quoi écrire: c'est mieux que la polynésie !

Et oui, ce n'est plus la paix pour les uns, mais c'est la paix pour d'autres:  jamais je ne l'aurais cru possible venant de moi, mais pour la première fois j'ai posé des limites comme des frontières.

Non, tout n'est pas permis sur le web.

Je ne veux plus de lectures chez moi sans la gentillesse du coeur et de l'esprit, avec "l'encensement" d'un jour qui tombe à l'eau le lendemain.

Je ne supporte pas la cyclothymie des gens mal lunés.

J'ai ouvert mon espace sans compter, la lecture de certains est toujours aussi interprétative, tandis que la lecture des autres est douce et lumineuse, sans jamais faillir.

La remise à l'heure des pendules a eu lieu, comme avec des enfants mal élevés, ou tout comme.

Vous pourrez chercher sans fin ce qui est vrai, ce qui est faux, je m'en moque; ce qui compte c'est que moi je sache ce qui est et ce qui n'est pas: telle est mon irréductible liberté.

Cela dit, il n'y a jamais de rancune chez moi, c'est cela qui me fait poursuivre et croire à la gentillesse du monde: c'est en cela aussi que tout esprit chagrin s'echoue loin de moi.

A l'ombre des samplers en fleurs, les amis de la poésie et de la philosophie sont les bienvenus, dès lors qu'ils ont conservé des gamins leur indéfectible optimisme, leur sourire radieux.

PS: et je remettrais des liens lorsque je sentirais que la gentillesse est courageuse et persévérante.

Chère Antigone,

Pourquoi faire part de cela ici ?

Et puis vous reprochez la "cyclothymie" de certains, mais ne l'êtes-vous pas vous-même ?  ;-)  J'ai par exemple déjà pu remarquer que le lien vers mon blog dans la liste de ceux que vous partagez sur le vôtre, avait disparu a plusieurs reprises puis réapparu à d'autres. Etrange cycle... ;-)

Vous n'aimez pas la lecture des gens "mal lunés" mais ne l'êtes-vous pas vous-même un peu "mal luné" alors que vous postiez ce commentaire ? ;-)

Personnellement je ne reprocherai jamais à qui que ce soit d'être "mal luné" et chacun peut lire mes mots comme bon lui semble, mais ne voyez dans mon commentaire aucun reproche d'aucune sorte. J'essaie simplement de comprendre le pourquoi de votre message...

Si vous ouvrez un blog public, tout le monde a le droit de le dire à sa guise, non ?

Bien à vous.

( Pour Rien > Si ce type de discussion, qui n'a rien à voir avec le poème que tu partages ni lla poésie ni même ton blog, t'embête, tu peux très bien effacer ce commentaire, je comprendrais parfaitement ! ;-)  )

Mes mots cher Cédric, bien que non transcendants, sont les miens.

Et ceux que l'on me pille ne sont pas exactement ceux que tout un chacun peut lire sur mon blog.

Je ne vais pas faire tout l' historique, mais parfois je me suis retenue avec violence pour ne pas faire un lien avec ce que j'écrivais dans mon intimité et quelques blogs monstrueux, dont j'aurais encore la décence aujourd'hui de taire le nom. Tous ceux où l'on règle ses comptes en utilisant le prétexte d'un peu de culture pour régler ses comptes et faire des gens dont on n'a jamais croisé le regard dans la vie, purement et simplement des boucs-émissaires.

Et quand la pensée vire au cauchemar humain, je ne cautionne pas donc ce n'est plus dans mes liens. Désolée, je porte la mémoire de Charles et de ses pote aussi, et je ne tergiverse pas avec cette mémoire.

En vérité, je ne souffre d'aucune cyclothymie: c'est tout schuss sur la beauté et les idées fraternelles; jamais je ne dérogerais à cela, même pas trente secondes.

J'aurais bien trop l'impression de retourner ma veste alors que le monde CREVE par manque d'humanisme.

Maintenant Cédric, il te faut apprendre à me connaître davantage, c'est-à-dire pas dans les ouïes-dire, et tu sauras alors que je te tiens pour un philosophe plein d'intelligence et de gaité, même si je ne partage pas lorsqu'on se rapproche du scepticisme qui tue les belles idées humaines.

Un blog est un espace vivant, aucune lecture n'y est figée; et il n'y aura sur le mien jamais que les belles idées que je cautionne.

Toutes ces idées qui s'inscrivent dans la durée.

C'est pourquoi je dis stop lorsque cela va trop loin pour moi, mais c'est pourquoi aussi je en fige jamais rien, laissant une place toujours pour l'évolution de ce qui est beau et joyeux.

Les interprétations en tous genres durent depuis plus de deux ans, c'est assez voilà tout!

J'ai décidé de parler de TOUS les sujets philosophiques qu'il me plaira modestement d'aborder, du désespoir à la mort, en passant par la passion ou le désir; et j'ai décidé que mes mots ne feraient plus sens vers certaines interprétations masculines aussi vulgaires qu'arriérées.

L'interprétaion est très facile, je n'aime que l'effort de la pensée qui s'active à ouvrir l'esprit.

Beaucoup , beaucoup de monde souffre aujourd'hui: nous avons la chance de pouvoir lire de la poésie ou de la philosophie, je mesure cette chance et j'ouvre un espace de réflexion à côté de mon blog dans le but que la culture ne soit jamais une question élitiste.

J'attends juste de la bonne humeur en retour.

C'est aussi simple que cela.

Coucou Rien

j'aime beaucoup l'histoire de la vieillle valise qui prend le chemin de l'étagère...si je pouvais y déposer mes mauvais souvenirs pour ne garder auprès de moi que les bons, ce serait bien...

Je ne sais pas ce qui se passe mais Antigone sache que je t'aime !

Je t'aime aussi Constance, je te réponds bientôt.

Merci Rien, je n'avais pas vu ton encouragement.

Oui persévérance tel est mon crédo!

Ce que tu exprimes me semble très confus. :-)

Et je ne comprends pas de quels "retours" tu parles, puisque tu n'autorises pas les commentaires sur ton blog, de quelles interprétations parles-tu ? De celles que tu reçois par mails ?

Et puis considères-tu comme une "idée fraternelle" le fait de ne pas tolérer la mauvaise humeur de certains ? De n'attendre que de la bonne humeur des autres ? Je ne vois personnellement là rien de "fraternel" ni d' "humaniste".  ;-)

Et j'aimerais bien jetter un oeil sur les sites ou blogs qui te "dégoûtent"...

J'ajoute que mes mots sont empreints de bienveillance à ton égard, je suis juste curieux de te comprendre... :-)

• Nom / Pseudo :
  
  E-mail (facultatif) :
  
  Site Web (facultatif) :
  
  Commentaire :
  
  Me prévenir par mail en cas de réponse
  

Alors allons vers la clarté: les sites concernés je n'en parlerais pas; il y a l'ombre de Charles et la délation n'est pas mon fort. La délation fait partie de la nuit du monde pour ce qui me concerne.

Cela dit, certains passent par ici ou ailleurs donc ils sauront qu'à partir de maintenant c'est action-réaction.

Patientes les Antigone contrairement à ce qu'on pense parfois, mais tout a une fin, je ne suis pas du style à laisser la joie me glisser entre les doigts trop longtemps; vive la juste mesure d'Aristote, pour une fois je vais m'en faire un copain de ce philosophe lol!

Ensuite je distingue la mauvaise humeur de la méchanceté.

Parlons d'abord de la méchanceté, çà va aller vite, c'est tolérance zéro! Qui plus est lorsqu'elle se répète, qu'elle est insidieuse, cela devient du vice.

Quant à la mauvaise humeur, oui, nous sommes tous humains, et cela arrive à tout le monde. Mais lorsque l'on pense un peu plus aux autres qu'à soi, on s'efforce alors de faire attention, en étant aimable hein? plus d'une journée consécutive. Cela s'appelle aussi la convivialité. Et cela présente cet avantage de faire en sorte que les autres se sentent suffisamment à l'aise pour se poser durablement en face de vous.

J'ai été relire la définition du mot "délation" : "Dénonciation faire dans un mauvais dessein (obtenir un avantage quelconque, tel de l’argent)."

Je ne vois pas ce que serait le "mauvais dessein" dans le cas présent, ni quel "avantage" tu tirerais de me parler de ces blogs. Surtout que je peux très bien penser autre chose (voire le contraire) que ce que tu penses toi de ces blogs. Une vérité pour toi, peut ne pas en être une pour moi... ;-)

Et dans la même veine, quelqu'un peut lire des mots ou des commentaires comme étant "méchants" alors que l'auteur de ces mots ou de ces commentaires n'a jamais eu la moindre intention d'être blessant ou "méchant". Parfois on lit des mots de l'autre à mille lieux de ce qu'il voulait leur faire dire... :-)

Voilà pourquoi je te demandais ce que tu pouvais bien considérer comme "méchant", par curiosité et pour voir si je pense ou non comme toi. Je ne vois là aucune "délation" de quelque sorte que ce soit. :-)

Par exemple, alors que mon intention n'est que bienveillente, deux personnes différentes pourront lire d'une façon opposée une même phrase que je viens d'écrire.

L'important, à mon sens, ne sera jamais la façon dont elle a été lue, mais l'intention avec laquelle je l'ai écrite.

Voilà pourquoi m'importe peu la façon dont on lit mes mots, s'il fallait toujours s'occuper des autres et de leurs susceptibilités ( qui prennent autant de formes différentes qu'il y a d'invidus) on ne pourrait plus rien écrire nulle part !!! ;-)

L'important est ce qui motive, guide nos mots, pas la façon dont ils sont lus.

Personne ne peut te voler ta joie, Antigone, si elle est vraie, elle est inviolable, inaltérable, invulnérable. :-)

Merci cher Cédric, pour ta bienveillance qui me touche vraiment, je te l'assure.

Vois-tu Cédric, à mes heures perdues je suis violoncelliste: tu entends une fausse note une fois, deux fois, et puis au bout de la dixième fois, tu as beau être naïve, tu sais qu'il n'est plus question de coïncidence.

Surtout lorsque tu sais que d'autres que toi ont subi les mêmes désagréments. Surtout lorsque tes mots de la veillee, sont mis en images et en paroles dès le lendemain. Il y a des gens qui ne supportent aucune contradiction, ce sont des personnes qui ne savent pas gérer leurs frustrations; alors tous les débordements virent vite à l'obcène. Il suffit de lire: c'est on ne peut plus réaliste. Il m'est même arrivé d'écrire n'importe quoi rien que pour voir le résultat, bingo!

Et je ne souhaite pas que ces "manières virtuelles" se poursuivent sans fin, non pas seulement pour moi, je suis solide; mais pour toutes celles qui le seront peut-être moins que moi.

Chez toi aussi je me suis insurgée contre ces façons de dire, même si cela ne me concernait pas; et tu as pris la décision de filtrer les commentaires si jamais tu le jugeais nécessaire. Tu n'as pas" inventé" la méchanceté donc, tu l'as sentie toi aussi à un moment donné. Et tu y as fait face.

C'est excatement ce que je fais aujourd'hui.

Je souhaite que le virtuel ressemble à un espace tolérant dans lequel la liberté de penser des uns s'arrête où commence celle des autres; un virtuel plus doux pour les femmes qui lisent ou qui brodent, ou je ne sais, qui font du tricot même, du moment que c'est leur passion.

Il faut s'habituer à l'idée que les autres ne sont pas des photocopies.

Ainsi le monde est-il véritablement riche.

Revenons aux textes.

"Souffle le vent d'automne

La vieille valise prend le chemin de l'étagère

Et avec elle les souvenirs."

J'attend pour ma part l'hiver avec ferveur, pour profiter du calme des rues vides et de l'odeur des livres...

Cédric,

Je te réponds aussi sur la non-activation des commentaires, et je réponds une bonne fois pour toutes à tout le monde de cette façon.

Bien que je sois une brodeuse "française", je défends davantage la broderie américaine, les US étant le lieu où les samplers historiques ont pris naissance. La création y est très intense et très riche.

En France il y a beaucoup d'histoires commerciales, un peu de création mais qui s'épuise, surtout dans ce contexte de crise.

Les commentaires en France se résument à "regardez ce que j'ai fait,c'est beau, à demain". Tant pis si c'est du résumé un peu holé holé, mais vraiment cela ne m'intéresse pas d'avoir chez moi 50 fois les mêmes commentaires. De plus je n'ai pas trop les idées politiques à la mode dirons-nous.

Mais mon blog reste quand même un blog de broderie, parce que je souhaite que soient diffusés ces ouvrages américains, afin qu'on ne les oublie pas. Ce sont des trésors qui racontent notre histoire, même philosophique concernant certains. Sans parler de la poésie des couleurs; on est pas loin de celles de la richesse de l'automne Rien ;-)

Il reste que les véritables échanges ont lieu plutôt en langue américaine, notamment sur FB, ici: https://www.facebook.com/anne.lhoste.9?ref=tn_tnmn

et ici: https://www.facebook.com/groups/samplerworld/

et ici pour l'essentiel, lorsque je "diffuse": https://www.facebook.com/groups/476412755751001/

Non, je ne suis pas une sauvage coupée du monde et c'est pourquoi je viens avec joie mettre des commentaires sur des blogs où on ne s'endort pas, où il y a une véritable émulation. Même lorsque je ne cautionne pas tout.

Chez moi, vous êtes les bienvenus: je veille à ce que la paix y reste; prenez mon blog pour ce qu'il est: un tout petit lieu de repos.

Je vous y accueille avec joie, et je réponds toujours à "contactez l'auteur" si vous souhaitez me poser des questions ou cultiver le partage.

Mais c'est vrai, le calme est une priorité: cela dit, j'ai dit le calme, pas la mort des idées qui se reposent sur des siècles et des siècles de traditions qui ne m'intéressent pas.

Lumière d'hiver

tout est mort

entre le ciel et nous.

Oui, chère Antigone, vive le calme.  :-)

Et désolé chère Rien, si cet échange entre Antigone et moi, qui à mon sens n'avait pas vraiment sa place ici, t'a importuné. :-)

Et pour finir en haïku :

Entendre le calme

S'approcher,

Sans faire un bruit...