• Auguste Chabaud

  • Commentaires

    1
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 08:16

    Laisser ouverte

    Contre vents et marées

    La porte 

    De notre sensibilité

     

    Alors

    Que toute notre société

    Nous pousse

    A la fermer 

     

    2
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 08:28

    Sensibilité souvent malmenée

    par le monde qui nous entoure.

    3
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 11:24

    Tu n'y es pour rien, chère Rien, mais tout de même elles sont étonnantes ( car nombreuses ! ) ces fautes dans ce livre.

     

    Tu ne pourras pas les corriger (à moins de raturer ton livre ! ;-) ) mais je les signale quand même :

     

    "...avec en plus tout CE que leur ont appris les joies..." et non "ceux"

    "...des gens qui ont su gardER la spontanéité..." et non "gardé"

     

    "...et qui l'ont au contraire amplifiéE et enrichiE..." le " l' " désigne la spontanéité et est placé avant l'auxiliaire avoir donc accord !

     

    Ils auraient dû me demander de le relire avant de l'envoyer chez l'imprimeur !! ;-)

     

    Ceci dit, ça colle avec le sujet : ça fait un peu "enfant qui apprend à écrire" ! ;-)

     

    Belle journée à toi !

    (Si tu corriges dans le livre (ce qui m'étonnerait et ce que je ne te demande évidemment pas) fais une photo !! :-) )

    4
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 11:34

    J'avais vu les fautes Cédric mais j'ai fait le choix de la photo pour les laisser, peut-être à tort, comme tu dis je n'y suis pour rien, une édition artisanale avec d'autres fautes.   

    5
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 12:26

    Je ne les ai pas vu les fautes ...

    Et comme dirait une certaine  lectrice que j'apprécie, nous avons tous compris le sens du texte, l'essentiel n'est il pas là. 

    En soutien aux petites lettres joueuses et rebelles qui veulent vivre leur vie 

    6
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 12:41

    J'aime ces livres qui conservent l'enfance, jusqu'à ces fautes malhabiles mais si touchantes, si charmantes. Et j'avoue que souvent mon orthographe reste en enfance.... avec ces quelques pensées légères et insouciantes.

    Quelle superbe poésie à l'intérieur même de ce poème: l'enfance, une poésie dans la poésie? Un texte pour rêver...

    "On est de son enfance comme on est d'un pays"

    (Antoine de Saint Exupéry, Pilote de guerre)

    Merci de partager ce joli trésor avec nous, à demain Rien!

     

     

    7
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 13:02

    Merci Pascal et Antigone de vos gentils mots.

    Je note précieusement la citation de Saint Exupéry dans mon carnet, à demain.

    8
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 18:28

    Bon alors tout va bien pourmoi, à 68 ans je suis resté un vieux petit garçon...

    9
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 18:56

    Je crois que c'est pareil pour moi, une vieille petite fille. :-)

    10
    MAX 777
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 20:27

    L'enfance, même devant toutes les adversités, reste une période bénie de notre temps, inguérissable...

    On ne guérit JAMAIS de son enfance!


    <cite>-------------------------------------</cite>

    Ah! je ne guérirai jamais de mon pays! N'est-il pas la douceur des feuillages ... Et qui donc a jamais guéri de son enfance ?...

    Lucie DELARUE-MARDRUS ...

    Max ...

     

    11
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 20:50

    Pourtant Max je ne revivrais mon enfance pour rien au monde ! Beaucoup mieux maintenant malgré tout :-) Bonne soirée 

    12
    Jeudi 10 Octobre 2013 à 21:12

     

    Moi, ce que j'aime vivre, c'est maintenant. Peu m'importe mon enfance ou le passé en général... :-)

     

    C'est MAINTENANT que j'ai envie de te dire Je t'aime Rien ! :-)

    13
    Vendredi 11 Octobre 2013 à 07:34

    Je t'aime aussi Cédric ! :-)

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