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...j'ai dit non quand il fallait dire oui? Je ne t'avais pas encore rencontré. * Aujourd'hui, presque tout m'agresse, mais mon oreille est encore là pour le chant délicat des oiseaux. Mais pour combien de temps encore ? Ton épaule contre la mienne, ton souffle sur ma joue. Je n'ai pas...
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...libre, le coeur se passionne pour cette vie qui le fait battre. A ceux qui ne connaissent pas le bonheur, la nature dans ces moments généreux leur en apporte avec les odeurs des bois et les cris des oiseaux, avec les chants du feuillage et toutes ces choses où palpite l'enfance. Julien...
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A la place du ciel Je mettrai son visage Les oiseaux ne seront Même pas étonnés Et le jour se levant Très haut dans ses prunelles On dira: "le printemps Est plus tôt cette année?" Beaux yeux, belle saison Viviers de lampes claires Jardins qui reculez Sans cesse l'horizon On fait...
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Sous les arbres Avec tous les oiseaux d'enfance Entre leurs bras Le flot entre leurs racines Mais l'on ne sait comment Être intérieurement là Pour lui vivre est alors plutôt Se tenir Dans l'ombre qui survient Ses jeux ne duraient pas Un seul vaut Celui de dire Et peut-être celui...
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retourne au creux de son ombre feuillage sur feuillage arbre et visage leur règne dans l'ombre heureuse l'arbre est tout plein de nuit blessée des oiseaux y taillent de grands cris muets Amina Saïd
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...ailées. Lorsque j'étais enfant, j'allais sous les feuillées, J'y prenais dans les nids de tout petits oiseaux. D'abord je leur faisais des cages de roseaux Où je les élevais parmi des mousses vertes. Plus tard je leur laissais les fenêtres ouvertes. Ils ne s'envolaient point ; ou, s'ils...
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J'étais en train de lire un livre quand tout à coup je vis ma vitre emplir son œil absent d'oiseaux légers et ivres Oui, il neigeait. La folle neige ! Elle tombait tranquille et fraîche dans le cœur tout troué comme un filet de pêche. C'était si bon ! et j'étais ivre de ces...
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...mille feuilles vertes Où palpitait l’élan de mon enfance, Des feuilles lisses et captives Comme les oiseaux de mon âme. J’avais un grand arbre vert Où se dénouait la fleur de mon enfance, Pour quel printemps, pour quelle abeille ? Pour quelle joie, pour quelle souffrance...
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...Lorsque chantent Suzanne, Emilie et Marie De leur suave bouche arrondie Ha, ha, hi ! Lorsque les oiseaux peints rient aussi sous l'ombrage Où notre table est mise avec noix et cerises, Viens vivre, soyons joyeux, allons, joins-toi à moi, Nous chanterons en chœur le suave Ha, ha, hi ! ...
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Moi l'hiver je pense Aux petits oiseaux Qui couvent des œufs glacés Dans les arbres Moi l'hiver je pense Aux petits poissons Qui se gèlent les bonbons La nuit Dans les rivières. Paul Vincensini Archiviste du vent ed Cherche midi