• Victor Hugo

     

    Victor Hugo


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  • Commentaires

    1
    Vendredi 23 Juin 2017 à 22:50

    Je savais bien

    que Rien n'était pas rien

    Amitié Tout

      • Jeudi 29 Juin 2017 à 16:52

        Merci Pascal ^^

    2
    Fany
    Mardi 27 Juin 2017 à 13:55

    C'est avec des riens que l'on construit sa vie, des choses qui nous paraissent insignifiantes et qui font un tout... yes

      • Jeudi 29 Juin 2017 à 16:57

        Tout à fait d'accord avec toi Fany wink2

        https://youtu.be/x8bWDuC9A3A

      • Fany
        Dimanche 2 Juillet 2017 à 08:16

        Vraiment une belle chanson... tendre, itou .

        Il y a longtemps que je ne l'avais pas écoutée. Merci pour ce lien et bon dimanche malgré le temps qui a brusquement changé avec un petit 13 ce matin et de la pluie! smile

    3
    opsimathe
    Mercredi 28 Juin 2017 à 17:05

    Rien (à voir) et juste écris ce matin. Question de donenr des nouvelles s'pas. Tu vas bien ?

    Dévot. Homme de dévouloir. Je n'a plus rien ni personne a revendiquer. Il est devenu nu.
    Ce grand bonheur, le vrai, celui qui est devant, en opposition aux faux qu'on traîne toujours par derrière, qui nous rembobinent dans le passé, qui nous marécagent dans un temps mort. Non le vrai celui qui enfançon court au devant en riant "attrape-moi, attrape-moi"
    et tu es seul au milieu de la montagne creuse et tu ne t'es même pas vu arriver dans la caverne des Sachants !
    Le talon léger tu as été attiré par toute cette joie qui se joue de tout là devant, qui t'a encordé, t'as jeté vers le haut, vers l'en avant,
    là où la course n'a plus d'obstacles, dans un air raréfié orné d'insectes d'or.
    Tu as accouru de manière naturelle vers la surnature, défait de tout complexe tout est devenu simple. Portes ouvertes en tous lieux,
    charme de temples ouvrant sur des temples embellis de tant de parfums et de formes. Tu franchis des seuils sur les pas de cet enfant là sans même t'apercevoir que le chemin de retour s'est dissout comme le tout dernier nuage.
    Tu es porté à enjamber et les théories et les phonèmes, et les lourdes masses intellectuelles chargées de paroles lourdes et molles.
    Les mots ne sont plus que des cadavres, des exuvies dispersées dans un vent balayant. Il y a toi et la lumière en conciliabule. En tête à tête avec la lumière de la lumière de la lumière. Sapience extrafine, haleine d'ange, aura de rose. Tu ne sais pas mais tu es su.
    Ni ne vois mais es vu. N'entends pas mais est rendu entendant.
    A nouveau chaque matin l'enfance ouvre ses yeux sur un soi neuf. C'est la fête qui recommence, l'annonce faite à ton âme appelée Marie ne concerne plus une fin funeste de fureur et de cœur percé d'un glaive, mais d'une aurore enchérissant sur toute aurore, éblouie d'une promesse que rien ne ternit.
    Tu es libre à la vie à la mort. La distance entre les deux n'est qu'un soupir. Un relâchement. Ta volonté est telle une huile,
    un hydrolat d'une fluidité d'éther. Qu'importe tout désormais ? Tu es voyagé vers ton home.
    Christ notre pâques a été immolé. La mer est franchie, le grand fracas des tempêtes qui secouent l'histoire est franchi. A pied sec sur les vagues, allégé d'un souffle descendu du paradis tu "t'avances vers ce qui t'est donné." (Jean mambrino)
    Ton traîne encore pour un temps la carapace disloquée d'un corps dans lequel tu n'es plus enchassé. Au fond de toi il y a l'étincelle,
    mille milliard de milliards de milliards de soleils s'effacent comme une vapeur devant cette étincelle plus suave que la mort bienheureuse. Ton centre est dans Son centre, ton cœur est au paradis, et le reste est là, à écrire des poèmes, à aimer assez les hommes pour leur dire: "C'est ouvert, on peut entrer !" jean Mambrino.

    Dévot. Dévolu, comme chacun à soi-même hélas. Que peux-tu bien faire du mini dieu que tu es ? A le caresser, à l'entourer de copyrights, à marchander tes grandes pensées comme si tu pouvais créer quelque chose ! Dévot du dieu que tu te crois, tu crois en toi, cet amas transitoire d'impressions fugaces, de rêveries avortées, de songes qu'un zephyr efface. Dévot de soi, s'aimer
    idolement, se penser créateur, auto-rédempteur, sage remarquable au milieu d'un monde adverse qui n'a rien à chaloir de ce que tu sois ou non.
    Dévot, Dévoué. Être voué au passager, au relatif, à l'éphémère, au dispensable, à l'égotisme, et être dévoué à l'éternel, à la solide vérité, à l'imperdable, à l'essentiel, à la vie en personne !
    Réflexion faite je ne me suis pas choisi comme centre de mon monde. C'est ainsi que je me suis trouvé mon NOM.
    "Dieu s'est fait homme afin que l'homme devienne Dieu." St Irénée.

    Là l'érudition est l'ennemie du savoir. Là l'intelligence reste à la porte comme une simple servante. Là les mains vides conditionnent la plénitude, là l'esprit oublié se mue en amour, en joie, en pacification. Là tu n'es plus qu'un "OUI".
    Tu as honte en y repensant, de ton intelligence, de tes victoires, de tes enthousiasmes. Ils gisent à tes pieds comme des haillons répugnants. Toute cette bale sera jetée au feu. Tu avanceras dans cette lumière comme une flamme dansante, renouant avec le mouvement même, le mouvement pur de ton être. Tu as beaucoup pensé, mais enfin ici, tu réfléchiras, lumière dans la Lumière.

      • Jeudi 29 Juin 2017 à 16:55

        Oh que je suis contente d'avoir des nouvelles biggrin

        bien, bien faut le dire vite.

        Toujours inspiré je vois, j'adore, dis dis je peux poster ton texte en article du jour sur le blog ?

    4
    opsimathe
    Vendredi 30 Juin 2017 à 15:15

    Si tu veux oui. La musique est faite pour être écoutée... et c'est pareil pour l'écriture. :)

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